Jérome Ricoul, auteur photographe

Son travail

Ses photographies appartiennent à la photo d’art et du voyage.
Il capte avec émotion la mélodie de la lumière. En osmose avec la nature et avec
l’homme, il restitue l’instantané dont la beauté a la fragilité d’une bulle de savon
sur un grain de matière et de qualité d’exécution. Ses photos numériques sont
réalisées sans aucune retouche. Il considère qu’une photo doit être réussie dès
la prise de vue. Il apprécie aussi de travailler en argentique pour certaines occasions.

Ses spécificités

Seul artiste à proposer des tirages d’art sur chaux “A fresco”, procédé
unique au monde, permettant de réaliser de vraies fresques murales. La carbonatation de la chaux offre à ces créations une texture minérale à l’esthétique unique. Les propriétés de la chaux sont conservées. L’encre ne forme pas un film.
La chaux continue ainsi d’absorber le CO2 pour revenir à l’état de pierre garantissant la résistance de l’ouvrage. L’encre se retrouve emprisonnée par la carbonatation de la chaux. Cette technique permet d’incorporer définitivement la couleur dans la matière.

– Tirages d’art sur bois, fer rouillé, verre.
– Tirage d’art Digigraphie en série limitée à 10 exemplaires

Ses dernières expositions

Charme&gourmandise - Février/mars 2011. Musée d’Histoire et d’Art - Villeneuve Loubet
Fine Nude Art : Novembre/décembre 2010 - MUSEEAV - Nice
A tire d’ail vers les salins - Janvier/Mars 2010 - Musée d’Hyères
Florilèges des voiles de Saint-Tropez - Juin/Septembre 2010 - Château du Galoupet (83)

« Les nus masculins de Jérôme Ricoul : bien ancrés dans le sol, ils prennent des poses à la rigueur architecturale. Des verticales, horizontales ou diagonales pour des compositions géométriques. La vision masculine de l’artiste est donc purement cartésienne. Stabilité de la composition, inspiration puisée dans la sculpture, science du geste, technique des effets lumineux (dégradé de gris veloutés), croyance aux commandements esthétiques du néoclacisisme, obsession de l’équilibre, quête de l’hédonisme et de l’esthétique. Jérôme Ricoul revendique une beauté idéalisée, une idée de l’élégance intemporelle.
Ailleurs, par la technique de surimpression (à la prise de vue), il place le corps nu à l’intérieur de la Nature, devenu élément sibyllin et partie intégrante de son environnement.
Sous la simplicité des apparences, le photographe capte avec émotion la mélodie de la lumière qu’il entend. Celle-là même qu’il attend pour mieux la surprendre, la suspendre, voire même l’inventer sans pour autant, dit-il, réussir à la maîtriser... En osmose avec la Nature, avec l’Homme, il nous restitue ainsi un instantané dont la beauté a la fragilité d’une bulle de savon. Et dire avec Alphonse de Lamartine : « Ô temps, suspends ton vol, et vous heures propices, suspendez votre cours. »
Car l’essentiel, que les mots ne peuvent dire et qui donne tant de joie à savourer, est le grain de la matière et la qualité de l’exécution.
Ses photos numériques sont réalisées sans retouche. Ilconsidère en effet qu’une photo doit être réussie dès la prise de vue. »
– Monique Boghanim
– Directrice Artistique Muséaav