Laëti de FLO
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Quelque chose d’heureux chante dans (…)
Laëti de Flo est née en 1969 à Bougival, berceau de l’impressionnisme. Elle développe très rapidement un goût prononcé pour les arts graphiques et picturaux qui la mènera naturellement à suivre les cours de l’E.S.A.M. puis des Beaux Arts à Paris de 1989 à 1993.
En 1995, elle s’installe dans la vallée de Chevreuse où le clair-obscur des sous-bois et les sentes forestières l’incitent à s’essayer à l’Aquarelle, réalisations graciles sur des thématiques souvent florales et botaniques. Conquise par les paysages, elle multiplie les interprétations du renouveau bucolique. Elle participe entre 1998 et 2006 à plusieurs expositions à l’Orangerie du Château de Dampierre, à ainsi qu’à 4 éditions du Salon d’Art du Perray-en-Yvelines.
Le groupe E.M.A.P et le journal "Modes et travaux"ont régulièrement recours à ses illustrations pour divers sujets ainsi que l’horoscope au cours de l’année 2006.
En 2007, elle réalise plusieurs thèmes pour le site Enjolivure et [email protected] autour de dessins d’arbres généalogiques.
La même année, elle illustre un conte philosophique pour les éditions "Chapitre 12" : "Mémoires d’un escargot". Une histoire écrite en 1953 par Fernand-Marceau Geoffroy. Dans la même collection, l’année 2009 verra la publication d’un second recueil : « l’Ane cet Inconnu », histoire d’une amitié entre un âne et son maître sur fond de guerre 14-18.
Fin 2007, conquise par les couleurs et la lumière du Sud, Laeti de Flo s’installe à Marseille où elle retourne à ses premières amours avec un travail en atelier fait d’huiles et d’acryliques, sur grands formats entoilés, panneaux de bois de récupération ou objets détournés. Le rêve de cette seconde vie au bord de la Méditerranée, elle le communique à travers des scènes oniriques et colorées. Elle réinvente les fonds marins avec vitalité et un sens de la superposition qui lui permet de mélanger esthétisme et profondeur. Ses pinceaux et couteaux abordent des thématiques philosophiques ou spirituelles mais sans perdre de vue l’impermanence des choses et la fugacité futile des préoccupations modernes, comme le passage d’une carpe sous la surface d’une immensité liquide.
Photo de Une et texte de présentation : courtesy Galerie Paradis Chinois
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Photo de l’article : courtesy http://www.laeti-de-flo.com/