Le printemps est là. UBU aussi. L’un apporte la vie et Ubu, nous l’espérons, un antidote aux forces grises.
Un rire hénaurme et la certitude renouvelée que le monde est une affaire trop fragile pour être confiée aux despotes de tout poil.
Si l’Ibis est visible en Egypte, l’UBU, après un beau (…)