Le clown Georges Alexander, Natalia dans sa bulle aérienne et Camila au trapèze. Ou encore Zednek Polach, le jongleur le plus rapide du monde et le trio péruvien de main à main...
Le public azuréen a rendez-vous avec la magie du cirque, et pas n’importe lequel, celui de Saint-Pétersbourg !
Il vient planter son chapiteau sur le terrain du MIN à Nice-Ouest et donnera trois journées de représentations du 5 au 9 octobre. Dans une débauche de sons et de couleurs, il permettra à petits et aux grands enfants de vibrer sur les exploits de ces artistes qui sont aussi de grands sportifs. Mention frisson avec "le globe de la mort" des cascadeurs moto. Et séquence charme et paillettes avec le ballet du cirque de Saint-Pétersbourg.
Saint-Pétersbourg ! Si le soleil ne se couche pas en été sur les bords de la Neva, c’est aussi pour admirer les nombreux artistes de cirque issus de cette ville de lumière, centre culturel et historique, deuxième ville de Russie après Moscou.
Car il y a une école du cirque russe, et à Saint-Pétersbourg en particulier. On retrouve ses funambules, ses clowns et ses dresseurs dans tous les grands festivals internationaux, dans toutes les grandes troupes.
Mais la richesse de ce cirque, c’est aussi d’incorporer des numéros venus d’ailleurs. Comme celui de la Française Sandrine Lebris, qui est l’une des seules femmes à entrer dans la cage aux fauves et à se mesurer avec des tigres de Sibérie et des lions d’Afrique.
Moins risqué, mais quand même époustouflant, le numéro de Ludmila et de ses félins : d’adorables... chats que l’on a déjà vus à la télé dans "Le plus grand cabaret du monde".
Le cirque de Saint-Pétersbourg traverse 280 villes chaque année et assure un millier de représentations. C’est un monde qui ne s’arrête jamais : 365 jours sur les routes et autour de la piste !
Quarante semi-remorques sont nécessaires pour transporter la troupe (150 personnes dont 40 artistes) , les 80 animaux et le matériel. Pour deux heures intenses de spectacle et de rêve.