L’art, c’est connu, s’accumule facilement (il existe même un art de l’accumulation !)
Ainsi plutôt que de sortir les réserves pour les lister et les re-rentrer, Franck a eu l’excellente idée de tout déballer et d’envahir la galerie dans un joyeux désordre (pas si désordre que ça, car le galeriste est plutôt ordonné par nature), mais enfin, tous ses trésors sont entassés le long des murs, les cadres devant les cadres comme à feuilleter, les styles et les époques se mêlant, du plus récent streetart au post-conceptuel, à l’abstraction, l’École de Nice, Sosno côtoyant Kijno, Goetz, Damiano, Triglia, l’inévitable Moya, le plus présent dans la galerie et sur les murs extérieurs, et Martine Doytier, bien sûr, remise à l’honneur après les expositions de l’Artistique et de la galerie.
De l’art pour tous les goûts, issu des coups de cœur du galeriste, de sa collection et de l’acquisition de fonds d’ateliers
Il expose également des dépôts faits par ses amis artistes, des plus anciens aux derniers arrivés dans la galerie. À cette occasion, il a redécouvert des planches de Bandes Dessinées qu’il tient de son ancien métier d’antiquaire et de chineur.
Le mot est lâché, on peut « chiner » dans l’art contemporain, même le plus récent, celui d’hier ou d’aujourd’hui…
La Chine n’est pour rien dans l’étymologie de ce mot. En fait, le terme vient des teinturiers, de la teinture des soies appelée le « chinage ». Ce mot s’est ensuite appliqué aux chiffonniers et aux brocanteurs à la recherche de bonnes occasions, de vieux objets qui ont pris de la valeur avec le temps.
Aussi, Franck vous propose de venir agréablement chiner dans sa galerie
Les prix sont attractifs et le plaisir de découvrir des œuvres allant des plus petits formats aux grandes peintures de Maîtres reconnus.
Franck compte doucement resserer son activité en se consacrant à nombre plus réduit d’artistes pour mieux les promouvoir, notamment lors de foires.
Faites-y un saut, il y a de quoi satisfaire les goûts les plus divers.
L’Atelier Franck Michel
28 rue Ségurane
