Originaire d’Albanie, avec un parcours de vie difficile, il installe son atelier dans le Vieux Nice, et prend l’habitude d’exposer ses toiles dans la rue, au point qu’en 2009 la Mairie fait saisir ses œuvres pour occupation irrégulière du domaine public.
Mais sa persévérance a payé : en 2014 il devient indéniablement l’artiste niçois le plus connu au monde ! Oui, grâce un reportage vidéo du New York Times qui a été visionné par 32 millions d’internautes.
Pour son documentaire consacré à la capitale azuréenne, « 36 hours in Nice », le journaliste Max Cantor du New York Times a choisi d’interviewer, parmi tous les artistes niçois, Paulin Nikolli.
Depuis la diffusion de la vidéo, les commandes affluent et permettent à Paulin d’envisager plus sereinement l’avenir.
La Galerie Ferrero, qui défend depuis des années les artistes niçois, des plus connus aux plus humbles, a voulu mettre à l’honneur Paulin Nikolli.
Malgré tous les avatars de la vie de bohème, cet artiste singulier a cru en son travail. Il a réussi à le promouvoir aux quatre coins de la planète, hors de tout circuit commercial et hors de tout réseau associatif, tout en revendiquant son ancrage niçois.