Petite taches de couleurs vives, traits fragiles et fins délimitant des espaces où le blanc domine, un blanc immaculé évoquant l’infini, ses dessins-peintures évoquent déjà les trois dimensions.
Ses compositions se sont évidemment imposées en volume. De petites sculptures en forme de portiques ou de fenêtres s’exposent dans l’espace comme de petites et fragiles installations.
Chacune de ses œuvres tient d’un équilibre précis entre les surfaces colorées, le moindre déplacement condamnerait l’harmonie de l’ensemble.
C’est pourquoi l’artiste travaille avec des éléments colorés à la manière de Matisse qu’il déplace jusqu’à trouver l’équilibre parfait de la composition.
Une exposition ludique respirant un bonheur coloré.
Jusqu’au 2 juillet