DÉFINI, FINI, INFINI exposition composée d’un ensemble de 7 œuvres monumentales inédites, expose, questionne et transforme la perception du mythique toit-terrasse. Daniel Buren s’empare du chef-d’œuvre de Le Corbusier en bousculant les perspectives, en exaltant les points de vue, en absorbant l’environnement, en jouant avec les dimensions, la lumière, les ombres portées, l’horizon…
Le succès critique et populaire des expositions Architectones de Xavier Veilhan en 2013, Résidence Secondaire – exposition inédite des lauréats du programme Audi talents awards réunissant, entre autres, Cyprien Gaillard et Neïl Beloufa, Oracular/Vernacular qui invitait un collectif d’artistes parmi lesquels Alex Israël, Kolkoz, Benoit Maire, Julien Prévieux… et dernièrement l’exposition Les Ensembles du jeune designer marseillais Jérôme Dumetz, lauréat Audi talents awards 2013, impose le MaMo comme un acteur de l’effervescence culturelle de la cité phocéenne.
Fidèle à son engagement initial de présenter une exposition inédite d’un artiste incontournable de la scène contemporaine sur le toit terrasse en été et des expositions plus intimistes, workshops, laboratoires de création en hiver, le MaMo souhaite, en 2014, signer l’une des initiatives artistiques les plus généreuses de la période estivale. « Comme l’an passé, c’est l’ensemble du toit terrasse qui sera investi par l’exposition, comme l’an passé grâce à l’accès gratuit au toit, elle sera accessible à tous, amateurs, curieux ou néophytes. Daniel Buren imagine une de ses œuvres comme un phare, visible depuis l’avenue du Prado. Cette exposition, c’est un cadeau à Marseille et aux marseillais ».
Depuis son origine, le MaMo est une histoire de rencontres, de passion partagée par Le Corbusier. DÉFINI, FINI, INFINI est le résultat d’une rencontre entre Ora-Ito et Daniel Buren, deux amoureux du Fada.
« Daniel Buren, malgré son agenda international et ses nombreux engagements a accepté de venir à Marseille, au MaMo » explique Ora-Ito « notre première rencontre avec son galeriste, Kamel Mennour, fut exceptionnelle. C’est comme si ce projet devait exister, qu’il ne pouvait en être autrement. Travailler avec Daniel Buren était un rêve et c’est le MaMo qui le rend réel, qui donne tout son sens à cette collaboration.
Le MaMo, reste avant tout une histoire humaine, une histoire d’envie et de projets un peu fous. Le MaMo, c’est l’art du possible ».
Nous y sommes tous invités.