L’exposition actuelle à l’Agora de l’Archevêché de Monaco constitue une suite à cet événement exceptionnel de sa vie de peintre et se présente comme une rétrospective de son œuvre.
Depuis sa première toile « La petite fille au mouton » peinte à l’âge de quatorze ans jusqu’à ses plus récentes œuvres, on peut admirer le parcours remarquable d’une artiste habitée à la sensibilité intense et à la manière singulière.
Elle a su imposer un regard original sur des thèmes visités depuis toujours ; l’enfance, la mère, l’éternité.
La maternité y tient la plus grande place : la mère universelle « qui peut remplacer tout le monde, mais que personne ne remplace », une figure intemporelle, unique, universelle. La mère est l’inspiratrice, celle qui aime et qui rassure. Celle qui donne la vie et protège.
Dans la lignée des classiques, Daniela Covarelli peint des maternités douces au regard indulgent, des beautés paisibles qui nous observent à travers le temps. Leur yeux d’où perce une tendre inquiétude, nous interrogent.
À ces femmes, mères, reines, anges ou petites filles, Daniela apporte une touche de modernité dans l’expression d’une sensualité douce et de couleurs intenses. Mères en majesté, ou mères couvertes de châles avec leurs enfants dans les bras, entourées de fleurs, de fruits et d’oiseaux, ou simplement assise sur un hamac. Dans sa série des "Maternités" la mère est magnifiée, elle exprime l’universel et la complicité avec son enfant à travers les regards qui s’échangent. Si la mère est attentive, l’enfant est paisible, il se sait en sécurité dans ses bras.
L’enfant tient également une place importante dans les yeux et le cœur de l’artiste : il est toujours roi, ceint de la couronne ou non. Petit garçon ou petite fille, toujours un peu déguisés, ils posent sur nous leur regard à la fois interrogateur et complice. L’enfant peut être aussi triste, dans une attente immobile ou créateur, nous montrant fièrement le tableau abstrait qu’il vient de peindre.
Un troisième thème, regroupé dans une petite salle explore le monde du cirque, avec ses costumes, ses animaux. Il exprime le besoin de fêtes...
L’exposition actuelle à l’Agora de l’Archevêché de Monaco constitue une suite à cet événement exceptionnel de sa vie de peintre et se présente comme une rétrospective de son œuvre.
Depuis sa première toile « La petite fille au mouton » peinte à l’âge de quatorze ans jusqu’à ses plus récentes œuvres, on peut admirer le parcours remarquable d’une artiste habitée à la sensibilité intense et à la manière singulière.
Elle a su imposer un regard original sur des thèmes visités depuis toujours ; l’enfance, la mère, l’éternité.
La maternité y tient la plus grande place : la mère universelle « qui peut remplacer tout le monde, mais que personne ne remplace », une figure intemporelle, unique, universelle. La mère est l’inspiratrice, celle qui aime et qui rassure. Celle qui donne la vie et protège.
Dans la lignée des classiques, Daniela Covarelli peint des maternités douces au regard indulgent, des beautés paisibles qui nous observent à travers le temps. Leur yeux d’où perce une tendre inquiétude, nous interrogent.
À ces femmes, mères, reines, anges ou petites filles, Daniela apporte une touche de modernité dans l’expression d’une sensualité douce et de couleurs intenses. Mères en majesté, ou mères couvertes de châles avec leurs enfants dans les bras, entourées de fleurs, de fruits et d’oiseaux, ou simplement assise sur un hamac. Dans sa série des "Maternités" la mère est magnifiée, elle exprime l’universel et la complicité avec son enfant à travers les regards qui s’échangent. Si la mère est attentive, l’enfant est paisible, il se sait en sécurité dans ses bras.
L’enfant tient également une place importante dans les yeux et le cœur de l’artiste : il est toujours roi, ceint de la couronne ou non. Petit garçon ou petite fille, toujours un peu déguisés, ils posent sur nous leur regard à la fois interrogateur et complice. L’enfant peut être aussi triste, dans une attente immobile ou créateur, nous montrant fièrement le tableau abstrait qu’il vient de peindre.
Un troisième thème, regroupé dans une petite salle explore le monde du cirque, avec ses costumes, ses animaux.
Il exprime le besoin de fêtes... Une vision venue de l’enfance de Daniela, du cirque qui passait une fois par an dans son petit village de Dordogne. Un monde extraordinaire qui l’a impressionnée : les chevaux, les clowns, les tigres… qu’elle nous retransmet dans une explosion de couleurs vives.
Grâce à son jeu d’équilibre entre les couleurs vives et le contraste des complémentaires, l’artiste nous communique son regard sur l’essence du monde.
Sa peinture, dit-elle « est un oxygène qui lui permet de mieux respirer ». Par son œuvre, elle nous offre un chemin vers la couleur et la lumière.
Sa peinture est un hymne à la vie.
Alain Amiel
9 au 27 janvier 2023
Diocèse de Monaco,
18 rue de Bellevue 98000 Monaco