Science sans conscience .... Bien voilà, il en fallait un de Flop, on le tient.
Au-delà du fait que le sujet paraissait intéressant, un film de SF en compétition à Cannes, l’effet Waouhhh s’est transformé en flop magistral, dommage.
L’on avait bien saisi l’intérêt et le sujet propre à la réflexion sur les laboratoires et leur systeme de recherche pas souvent éthique.
Ces multinationales toutes puissantes qui œuvrent en silence et sous couvert de subvention européenne et mondiale pour notre soit disant bien être, provoquent quelquefois des ratés, surtout lorsque les chercheurs ne s’attellent pas à respecter les protocoles et les justes mesures de sécurité et d’études épidémiologiques propres en la matière.
La soif d’argent et de reconnaissance provoquent quelquefois la perte morale et balaie la déontologie de certains chercheurs dans leur quête de ce qui semblait être le meilleur pour l’humanité.
Mis à part la parfaite interprétation quasi mystique de l’actrice principale Emily Beecham peu de chose à retenir de ce film..
En effet, on aurait pu traiter le sujet en 45 minutes, sur Netflix dans la série Blackmirror, et l’on aurait été très heureux parceque certainement plus efficace.
Ici, c’est carrément long, la réalisation et l’ambiance à la sauce publicitaire "Flowers de Kenzo" nous lasse indubitablement, ne parlons pas de la musique qui par la fin nous donne juste la nausée d’un film pas bien né.
S’en est trop, je vais donc pouvoir me faire sentir ailleurs, Adieu Little Joe.