Depuis la fin des années 1990, c’est autour d’une recherche minimaliste puisée dans un contexte sociologique, favorisé par un retour aux sources de la peinture et vers une nouvelle figuration narrative, que Patrick Moya, s’invite aussi dans une production nécessitant la connaissance des fonctionnements des nouvelles technologies dites Metavers.
Sous forme de fresques peintes in situ, sur la totalité des cimaises et des recoins du Centre d’art, la composition dans son ensemble nous plonge au coeur de l’illusionnisme vers un voyage dans l’étrange, proche d’un rêve éveillé.
Créé en 3D, l’installation est enrichie par une projection où l’écran de grandes dimensions s’implique dans l’espace surdimensionné d’un monde imaginaire, surprenant et libre…