Après l’immense succès de ses expositions à Paris Place Vendôme, à Athènes en Grèce puis à Bejing en Chine, l’artiste Anna Chromy a choisi Saint-Tropez pour exposer ses « Mythes de la Méditerranée », thèmes universels revisités dans la
perspective de notre histoire contemporaine en pleine mutation. En marbre ou en bronze, les sculptures d’Anna Chromy ont comme point commun une recherche élancée vers l’esthétisme et la beauté plastique. Mais au-delà de cette harmonie évidente, le sens donné aux sculptures a sa propre ligne de force qui interpelle
l’observateur. Pour l’artiste : « Seule la beauté peut éveiller l’amour et c’est de cette énergie dont a besoin l’humanité aujourd’hui ». Ce parti pris à contre courant de la tendance actuelle dans l’art contemporain est, chez Anna Chromy, totalement assumé dans une facture classique qui sublime les formes du corps en mouvement,
libre et puissant. En composant la rigueur de ses origines centre-européennes avec l’amour pour la mythologie grecque et l’Opéra, Anna Chromy a su créer des sculptures fantastiques qui amènent l’observateur et amateur d’art dans un voyage aux origines de l’Europe et de l’Être humain, du berceau de la culture européenne jusqu’à la beauté de l’esprit multiculturel contemporain. Artiste d’origine bohème, Anna Chromy a grandi en Autriche pour ensuite vivre et adorer Paris, la ville des Lumières. Elle vit aujourd’hui sur Monaco et travaille dans son atelier de Pietrasanta en Italie. Elle réalise actuellement à Carrare le « Manteau de la Conscience », taillé directement dans la carrière de marbre Michaelangelo, elle est l’une des plus grandes sculptures en marbre jamais taillée depuis Michel Ange dans un bloc unique
et la première à être vidée de l’intérieur avec la plus grande surface de marbre jamais couverte de plis subtils.
En avant-première une version en bronze et de dimensions moindres du « Manteau de la Conscience » sera exposée place de l’Ormeau cet été à Saint-Tropez où le public pourra également découvrir : « Europe » dans le jardin de l’Annonciade ; « Ulysse » sur le parvis de l’Office de Tourisme ; « Promethée » quai Suffren en face de la statue du Bailli de Suffren ; « Olympic Spirit » place Grammont ; « Sisyphe » quai Jaurès en face du restaurant l’Escale ; « La musique des fleuves » (ensemble de 5 sculptures) place de la Garonne, « Alcyon » quai de la Pesquière (La Ponche), « Chronos I » et « Chronos II » place des Remparts, Eurydice à l’hôtel Byblos et Carmen
au Lei Muscardins ainsi que des reproductions des grandes sculptures en format réduit à la Fine Art Gallery Francesca Dona, rue de la Ponche.